

Parrainées par Edgar Morin
Programme
La Terre : Notre Maison Commune
Participation Libre
PREMIERE SESSION
Vendredi 11 octobre
17h00 - 20h00
Ecologie et Peuples Premiers
Racines et visions:
L'alignement des pratiques écologiques des peuples premiers pour un futur durable
Eric Julien
​Anne Sibran
Jean-Pierre Chometon
Présentation Animation
Rahma Thomann
Ph.Y Demaison
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DEUXIEME SESSION
Samedi 12 octobre
13h30 - 16h30
Ecologie et Education
Eduquer pour la terre:
Cultiver la connaissance et vivre passionnément pour le Vivant
Dominique Cottereau
Manon Sala
Clément Barniaudy
Présentation Animation
Roberto Pagani
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TROISIEME SESSION
Samedi 12 octobre
17h30 - 20h30
Ecologie et Psychologie
Stratégies pour naviguer à travers les grandes mutations environnmentales
Emmanuelle Delrieu
​Laure Charpentier
Emmanuel Contamin
Présentation Animation
Yoan Svejcar
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QUATRIEME SESSION
Dimanche 13 octobre
10h30 - 13h00
Ecologie et Spiritualité
Réparer notre monde par la Sagesse et la Conscience profonde
Glenn Albrecht
Michel Maxime Egger
Monseigneur Martin​
Présentation Animation
Rhama Thomann Ph.Y.Demaison
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PREMIERE SESSION
Vendredi 11 octobre
17h00 - 20h00
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Ecologie et Peuples Premiers
Racines et visions :​
l'alignement des pratiques écologiques des peuples premiers pour un futur durable.
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J’ai également cofondé l’EPNS (Ecole pratique de la nature et des savoirs) qui expérimente et forme adultes et enfants à des nouveaux liens d’alliance avec le vivant, par une approche systémique et organique.
Je vis dans la Drôme, où j’anime des « parcours de reconnexion nature » pour retrouver l’essentiel en soi et sa place dans le vivant. A destination des adultes, des enfants, des familles, des entrepreneurs et managers. Les stages ont lieu sur le site de la Comtesse: accessible à pied, à 1300 mètres d’altitude dans les hautes vallées du Diois, c’est un « laboratoire territorial d’expérimentation » d’une remise en lien « soignante » avec le vivant, en nous et autour de nous.
Ouvrages
Le chemin des pierres qui parlent (Actes sud 2022)
Meywaka, à l’aube de la pensée (Tchendukua 2021)
Le choix du vivant (Les liens qui libèrent 2018, avec MH STRAUS)
La mémoire des possibles (Actes Sud 2009)
Voyage dans le monde de Sé (Albin Michel 2007)
Kogis, le message des derniers hommes (Albin Michel 2003)
Le chemin des 9 mondes (Albin Michel 2001, disponible en poche)

Après avoir appris le quechua (à l’INALCO) en 2007, je pars vivre en Amérique du sud avec ma famille. Auprès des mineurs de Potosi, je découvre le réseau de loyautés que ce peuple animiste entretient avec la montagne, en dépit des conditions de travail effroyables, où beaucoup laissent la vie. J’en ferai un roman : Dans la montagne d’argent. Installée en Equateur, je descends la cordillère des Andes pour habiter auprès des Sacha Runa, des agriculteurs de la forêt, qui parlent le quechua (kichwa) et vivent à l’est du pays dans la forêt Amazonienne. Soumis à la forte pression des multinationales pétrolières, au trafic de bois, à la déforestation, les Sacha Runa défendent ardemment leur forêt et continuent à dialoguer avec elle. Une rencontre et une amitié avec un vieux Yachak (guérisseur) et sa femme vont profondément modifier mon écriture et mon rapport au vivant : Enfance d’un chaman.
La forêt qui jouxte le Rio Napo, une des dernières forêts refuge est d’une extrême biodiversité, c’est le parc du Yasuni. Elle est aussi extrêmement menacée. Après ma rencontre avec les Sacha Runa, je m’associe à un groupe de chercheurs (Université Andine et Université San Francisco de Quito) dont l’objectif est de sensibiliser sur l’importance de cette forêt refuge et des peuples qu’elle abrite (dont des chasseurs cueilleurs : Taromenane et Tagaeri qui vivent dans une zone protégée qu’on appelle « La zone intangible »). En 2013, après l’assassinat de trente Taromenane, je parcours avec un magnétophone les limites de la zone Intangible. Cela donnera les 10 épisodes du « Cercle Sauvage » diffusés sur France Culture et « Les orphelines du peuple fantôme » publié par la revue XXI.
https://www.anne-sibran.com/
J’anime aussi des ateliers d’écriture, autour de ce que Georges Haldas appelle « l’état de poésie » où l’écriture, la parole viennent témoigner d’une imprégnation et d’une présence au vivant. S’ouvrir un chemin poétique : concret, créatif et authentique en lien avec ce que vit la terre aujourd’hui.
https://atelier-du-sensible.com/
BIBLIOGRAPHIE :
Romans :
- Bleu-Figuier. Editions Grasset. 1999.
- Ma vie en l’air. Editions Grasset. 2002.
- Je suis la bête, Editions Gallimard, 2007. (Prix SACD festival Impatience 2018)
-Dans la Montagne d’argent Grasset 2013
-Enfance d’un chaman. 2017 Editions Gallimard (Prix écriture et spiritualité 2018)
-Le premier rêve du monde. Editions Gallimard 2022 (Prix Guy Bédouelle, 2023 et prix Lettres frontières 2023)
Fictions radiophoniques France Culture :
-J’ai tout appris de la nuit (autour de la vie et l’œuvre de Jacques Lusseyran) diffusion janvier 2025
-Le cercle sauvage 2018 (Grand prix Radio SACD 2019)
-Géographie du purgatoire 2011
- Je suis la bête 2009
- La Reine Didon 2007
- Les bêtes d’ombre. 2007.

Cet homme curieux de tout,
atteint d'un handicap dès sa naissance, a converti cette difficulté en force de vie joyeuse et communicative.
De nombreuses rencontres et évènements l'ont convaincu définitivement de la puissance de l'amour et de la joie au-delà des épreuves.
Auteur des ouvrages Itinéraire d’un amoureux de la vie (Aluna Editions, 2018) et La vie est un chemin
sans fin et sans limite (Helios, 2025).
Je vous propose un lien vers un interview récente de trente minutes.

Ses travaux de recherche portent sur l’écoformation, courant informel de l’éducation et de la formation relatives à l'environnement et à l'écologie, explorant la manière dont les sujets construisent leurs êtres-au-monde par le contact direct et réfléchi avec l’environnement, les lieux, le monde non humain, les paysages, les éléments…
Après un parcours d’une dizaine d’années en tant que professeure d’éducation physique puis animatrice de classe de mer, elle a repris des études universitaires pour réfléchir sa pratique pédagogique. Elle obtient son doctorat de sciences de l’éducation en 1995 avec une thèse soutenue sous le titre « Education à l’environnement et classe de mer. Instauration du dialogue éco-logique par une pédagogie de l’écoformation » sous la direction de Gaston Pineau. Avec quelques amis, ils créent leur propre association d’éducation à l’environnement, en même temps qu'elle devenait chargée de cours vacataire dans les universités de Paris 8, Rennes 2 et François Rabelais de Tours.
En 2010, elle devient professeure associée à mi-temps à Tours et intègre une Société Coopérative de Production, entreprise de l’économie sociale et solidaire, avant que d'être embauchée comme coordinatrice au sein du réseau d'Education à l'Environnement en Bretagne. Bien qu’ayant de l’intérêt pour tout type de recherche en éducation relative à l’environnement, l’écoformation reste son axe préféré. Il prend les détours des histoires de vie, de la place du corps sensoriel et moteur, de la pédagogie de l’imaginaire, de l’habiter… mais toujours sous l’angle de l’exploration des liens formateurs qui se tissent entre l’humain et le monde autre qu’humain dans lequel et avec lequel il vit, ceci avec pour ligne de mire de « transformer les rapports d'usage en rapports de sage » (G. Pineau) avec la nature.
Quelques productions :
• 2024, « Retour sur un parcours de recherche en éducation relative à l’environnement : Rendre visible la part formatrice de l'autre non humain », Éducation relative à l'environnement [En ligne], Volume 18-1 | 2023, mis en ligne le 25 mai 2023, consulté le 13 juillet 2024. URL : http://journals.openedition.org/ere/10101 ; DOI : https://doi.org/10.4000/ere.10101
• 2017, Dehors ! Ces milieux qui nous trans-forment, Paris, L’Harmattan, Collection Écologie et Formation.
• 2012, « Habiter par corps », Éducation relative à l'environnement [En ligne], Volume 10 | 2012, mis en ligne le 20 décembre 2012, consulté le 14 juillet 2024. URL : http://journals.openedition.org/ere/1023 ; DOI : https://doi.org/10.4000/ere.1023
• 2009, « Energie et vie quotidienne. Pour une écoformation éclairée », in Revue scientifique virtuelle Education et Francophonie, publications de l’association canadienne d’éducation de langue française, https://www.erudit.org/fr/revues/ef/2009-v37-n2-ef3580/038814ar/
• 2005, « Ecoformation, entre soi et le monde », revue Pour, Dossier Education à l’environnement, n° 187, pp. 111-117.
• 2005, « L’imaginaire anthropologique et l’éducation à l’environnement », in Chemin de Traverse, n°1, solstice d’été, Les Amis de Circée.
• 2001, Formation entre terre et mer, Alternance écoformatrice, Paris, L’Harmattan, Collection Écologie et Formation.
• 1994, A l’école des éléments, Écoformation et classes de mer, Lyon, Chronique sociale.

Lien vers le podcast :
Nouvelle Conscience | Ausha

Ses intérêts d'enseignement et de recherche portent sur les éthiques du care, les humanités écologiques, les approches sensibles et phénoménologiques de l’expérience, les apprentissages transformatifs et l'éducation à l’attention et au soin des milieux géographiques. Il est membre fondateur du GIS TEPCARE (Groupement d’intérêt scientifique sur les théories et pratiques du care) et co-porteur du projet Econarrative (MSH SUD, 2021-23).
Parmi ses publications récentes :
- Barniaudy, C. & Biancofiore, A. (dir.) (2024). L’éconarration : des ateliers d’écriture pour transformer notre relation au vivant. Lormont: Le Bord de l’Eau.
- Barniaudy, C. (2023). « Le Travail Qui Relie », un processus d’auto-écoformation pour se relier à la toile du vivant et « changer de cap ». Éducation relative à l'environnement, 18(1), DOI : https://doi.org/10.4000/11x48
- Barniaudy, C. & Delorme, D. (2022). L’Écospiritualité, opium du peuple ou révolution intérieure pour une transition écologique ?. La Pensée écologique, 8, DOI : https://doi.org/10.3917/lpe.008.0031
DEUXIEME SESSION
Samedi 12 octobre
13h30 - 16h30
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Ecologie et Education
Eduquer pour la Terre :
Cultiver la connaissance et vivre passionnément pour le vivant
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TROISIEME SESSION
Samedi 12 octobre
17h30 - 20h30
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Ecologie et Psychologie
Stratégies pour naviguer à travers les grandes mutations environnementales
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Ecopsychologue, co-fondatrice et co-présidente de l'AFECOP (Association Francophone d'ECOPsychologie) et fondatrice de l'ETI: l'Ecole de la Transition Intérieure.
Emmanuelle Delrieu est spécialisée dans l accompagnement des changements de vie, notamment dans des situations de burn-out, son action se situe à deux niveaux:
ï€ Le premier concerne l'écosystème intérieur pour que chacun vive sa transition et sa guérison intérieure, regénère son lien avec le vivant et évolue dans ses paradigmes et comportements pour apprendre l'interdépendance et le tissage avec le vivant et les ecosystémes. Elle accompagne ainsi depuis des années l’individu et les groupes à vivre une transition écologique unifiante et incarnée.
ï€ Le deuxième concerne la formation et l'information des thérapeutes et des institutions pour prendre en charge et accompagner les pathologies, les besoins, et les crises existentielles générés par la crise climatiques et le collapse.
Elle a publié : Comment garder les pieds sur Terre quand tout fout le camp : 5 étapes de transition intérieure par l'écopsychologie au service du Vivant aux éditions Le souffle d'or et paraitra le 16/10/2024
66 exercices et 5 étapes de transition intérieure pour se séréniser, s'ancrer, se réémerveiller de la magie du vivant
Résumé: Nourris par nos conceptions pathogènes et destructrices du Vivant, tels que la réification ou le clivage entre l'humain et le sauvage, nous épuisons nos êtres et notre terre : le burn-out est devenu systémique. De Servigne à Étienne en passant par le Pape et le Dalaï Lama, tous le scandent : pour aller vers une transformation écologique collective, il est impératif que l'humain se transforme de l'intérieur. Face à cet épuisement généralisé, nous devons décoloniser nos représentations du monde, prendre soin de nous et relier notre écologie interne et externe pour tendre vers de nouveaux modes de vie. Pour cela, l'écopsychologie éclaire les causes de notre société mortifère tout en reliant profondément la guérison de l'humain et celle du Vivant. Ce manuel de transition intérieure est une traversée en 5 étapes du processus de transformation individuelle et collective : 1. Appréhender les origines des dysfonctionnements internes et externes 2. Se confronter aux souffrances et accepter le changement 3. Régénérer son lien au Vivant 4. Revitaliser et se reconnecter ou négocier et régresser 5. Agir pour changer de monde Tout au long de ce guide d’écothérapie, des exercices pratiques sont semés sur le chemin de la connexion à la nature et d’une reliance émerveillée au Vivant en Soi.

Dans la première partie de son parcours, après une école de commerce, Laure a travaillé à l’optimisation des process et des organisations en entreprise. Elle a ensuite suivi une formation d’Eco-conseillère à l’INSA de Strasbourg et a choisi de travailler pour le projet de « Territoire à Énergie Positive » des collectivités de la Biovallée (Drôme) pendant 6 ans.
Depuis 2015, elle accompagne à l’Institut NégaWatt des projets de transition territoriaux et individuels, par l’animation des dynamiques collectives, l’apport d’expertise ou de la formation. Facilitatrice et formatrice à la facilitation de Conversations Carbone (méthode d’accompagnement au changement pour « faire face au défi climatique sans devenir dingue et en se faisant plaisir »).
Le fil rouge de sa pratique professionnelle est de faire le lien entre changements structurels et changements individuels.
On dit de Laure
Laure a l’art de mixer l’audace et la persévérance. Elle œuvre au sein de l’Institut négaWatt de manière endurante et constructive, tout en préservant les indispensables qualités de convivialité et d’ouverture qui la caractérisent.
Son regard
Pour elle, le défi écologique est l’opportunité de (ré)investir ses choix et de réalisation individuelle et collective. Elle s’enthousiasme pour la puissance dans le lâcher-prise, pour la richesse dans le collectif et pour cette capacité d’agir et de s’ouvrir que les Conversations Carbone enclenchent.

Ancien chef de clinique-assistant des hôpitaux de Paris, spécialisé dans les thérapies des stress post-traumatiques, Emmanuel Contamin,est également formé en hypnose éricksonienne, aux TCC (thérapies cognitivo-comportementales) et à la thérapie sensori-motrice.
Engagé comme ambassadeur du changement à l'association Anciela à Lyon, il anime des stages "éco-anxiété : passer du figement à l'engagement" où il tisse le travail qui relie avec des protocoles EMDR de groupe. Avec également le projet de soutenir le développement des groupes d'EMDR pour les personnes en précarité et les interventions sur l'éco-anxiété dans les établissements scolaires.
Convaincu de l'importance de renforcer notre résilience individuelle et collective face aux catastrophes et à l'éco-anxiété, il a écrit :
1. Guérir de son passé avec l’EMDR et des outils d’autosoin, publié en 2017
2. Prenons soin de nous ! Exercices d'auto-thérapie (réédité en 2023)
3. Les 5 cercles de la résilience en 2021 (réédité en 2024)

Il publie dans des revues à comité de lecture et a récemment achevé et publié des chapitres dans des ouvrages consacrés à ses domaines de recherche.

Son parcours de vie laisse apparaître deux lignes de force. D’un côté, un axe (éco)spirituel centré sur la transformation de soi, l’ouverture et la reliance au mystère sacré du divin, à la fois transcendant et immanent. Après un passage par l’Inde et le bouddhisme zen, Michel Maxime a retrouvé ses racines chrétiennes et s’est inscrit en particulier dans le christianisme oriental, avec une grande ouverture aux autres traditions de sagesse et aux découvertes de la science contemporaine.
De l’autre, un axe (éco)citoyen pour la transformation du monde, le « changement de cap » vers des sociétés qui prennent soin du Vivant, à travers des modes de vie plus justes – tissés de justice et de justesse –, joyeusement sobres et solidaires, respectueux des limites de la planète, car fondés sur des relations réharmonisées entre les humains et avec les autres qu’humains. Cet axe s’est incarné, durant sa vie professionnelle, par plus de vingt ans d’engagement pour le développement durable et des relations Nord-Sud plus équitables, à travers des activités de sensibilisation et de lobbying au sein de plusieurs ONG.
Ces deux axes obéissent à une même quête : l’unité entre le cosmique, l’humain et le divin. Ils participent d’une vaste respiration au service de la « grande transition » écologique et sociale qu’il convient d’aborder de manière holistique, en allant aux racines (spirituelles) des problèmes et en articulant les dimensions intérieures et extérieures, individuelles et collectives. Cela exige une véritable métanoïa, un dépassement des dualismes, un changement de regard sur la nature et la place de l’être humain en son sein, une reconnexion profonde au Vivant, une transformation de notre mode de connaissance, une réorientation de notre puissance de désir et une éthique des vertus.
Cette mutation s’est incarnée de plusieurs manières. Premièrement, elle a donné lieu à un travail d’écriture, avec à la clé plusieurs ouvrages individuels et collectifs, de nombreux articles, préfaces et émissions dans les domaines de l’écospiritualité, de l’écopsychologie et de la spiritualité.
Parmi ses ouvrages : La Terre comme soi-même (Labor et Fides, 2012), Soigner l’esprit, guérir la Terre (Labor et Fides, 2015), Se libérer du consumérisme (Jouvence, 2020), L’Être caché du cœur (Labor et Fides, 2020), Réenchanter notre relation au vivant (Jouvence, 2022). Son dernier livre, avec Tylie Grosjean et Elie Wattelet : Reliance – Manuel de transition intérieure (Actes Sud, début avril 2023).
De 2014 à 2024, en résonance avec ce travail de publication, Michel Maxime a également codirigé la collection Fondations écologiques aux éditions Labor et Fides.
Deuxièmement, la création du site personnel Trilogies – Entre le cosmique, l’humain et le divin, pour mettre en dialogue traditions spirituelles, quêtes de sens, écologie et grands enjeux socio-économiques de notre temps. On y trouve quantité de textes, vidéos et podcasts de Michel Maxime sur ses champs de réflexion.
Troisièmement, de 2016 à sa retraite professionnelle en 2023, la création et co-animation d’un Laboratoire de transition intérieure porté par deux ONG suisses. Un lieu d’exploration et d’expérimentation, qui, en sept ans, a proposé plus de 300 événements, conférences et ateliers sur des dimensions culturelles, psychologiques et spirituelles de la transition écologique.
Pour une bio-bibliographie plus détaillée, voir la page wikipédia et la présentation sur Trilogies.

QUATRIEME SESSION
Dimanche 13 octobre
10h30 - 13h00
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Ecologie et Spiritualité
Réparer notre monde par la Sagesse et la Conscience profonde.
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Les 5èmes Assises de la Sagesse
Terre de Paix - Espace de Vie
La paix, une clé pour réparer le monde
Par visioconférence
Samedi 13 avril - 1re session - 17h à 20h
Créer un contexte de Paix
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Emilie Barrucand : Vivre en Paix avec la Nature - Les Peuples Autochtones d’Amazonie.
​
Mathieu Labonne : La paix et les enjeux de la gouvernance.
Romain Dian : Comment concilier entreprise et sagesse ?
​
Roberto Pagani : La Danse de l’ours : apprendre à résoudre
les conflits dans la paix.
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Dimanche 14 avril - 2e session - 17h à 20h
La Paix au cœur des Traditions
Swamini Amrita Jyoti Prana : Le monde est une famille.
Vivre en harmonie dans l’Unité et la Diversité.
Swami Atmarupananda : L’Unité des Traditions, la Voie de la Paix.
Père Philippe Dautais : Construire la paix par le dialogue.
Philippe Demaison (Yâ-Sîn) : La paix, l’inspiration du serviteur du Miséricordieux
Les Intervenants
Samedi 13 avril
Créer un contexte de Paix